Publier vos articles dans des revues de renommée mondiale est une manière efficace pour toucher un nombre plus large de lecteurs. Avec la diffusion en ligne, notamment sur les sites Web dédiés aux docteurs et chercheurs, vous allez renforcer votre stratégie d’internalisation. Reste à savoir que vous devez d’abord passer par la traduction, qui est très complexe dans votre domaine. Elle requiert une parfaite maîtrise du sujet traité et de son vocabulaire spécifique. À cela s’ajoute l’adaptation du contenu purement scientifique pour qu’il soit facilement compris par le grand public. Que devez-vous faire alors pour répondre à toutes ces exigences ?
Choisir la langue la plus utilisée dans les revues internationales
Personne ne peut nier la prédominance de l’anglais dans les recherches et les découvertes médicales et scientifiques. Il représente le passeport linguistique des différents textes dédiés au lecteur international. Cela s’explique par la croissance du nombre des publications anglaises, mais aussi, des traductions destinées aux pays anglophones. Bien sûr, nous parlons de 1, 132 milliards de locuteurs à travers le monde. Voilà pourquoi les spécialistes, doctorants et médecins choisissent cette langue pour avoir une efficacité garantie.
Si c’est votre cas, rédigez votre article dans votre propre langue, puis faites-le traduire. En tant que locuteur natif, vous n’allez pas commettre de fautes dans votre écrit scientifique, qu’il soit démonstratif, explicatif ou académique. Ainsi, vous allez vous exprimer clairement et avec plus de subtilité pour l’exactitude du vocabulaire et de la typographie. Ensuite, lorsque votre texte est bien rédigé, relu et prêt à la publication, l’étape de la traduction devient nécessaire.
La langue française et les revues médico-scientifiques
Une étude récente faite par le site d’informations lesechos.fr justifie la place importante de l’anglais dans le domaine scientifique. En fait, les publications médicales sont quasiment faites dans cette langue et particulièrement dans des revues anglo-saxonnes. Cela inclut notamment « The New England Journal of Medicine » et l’incontournable « British Medical Journal ». Par contre, le français ne représente actuellement que 0,3 % de ces publications. Cela reste également vrai pour l’allemand, le chinois et l’espagnol (0,6 % chacun) ! Cette réalité ne permet pas aux médecins et chercheurs francophones de concurrencer la langue anglaise, d’où le besoin ultime de la traduction. C’est le seul moyen pour être lu par le grand public, car même les revues françaises et européennes optent pour cette langue.
Maîtriser le langage spécifique au sujet traité
Le monde scientifique englobe des domaines très variés, mais aussi très spécialisés. Si un médecin peut décrire en détail les symptômes d’une maladie rare, alors, un biologiste peut identifier les étapes d’évaluation d’un virus. Chacun est uniquement capable d’exceller dans son secteur particulier. Du coup, la traduction dans ce secteur ne demande pas seulement le changement de la langue source. Elle exige aussi l’emploi d’un vocabulaire précis et la connaissance approfondie du sujet en question.
Justement, la maîtrise du contexte est fondamentale pour pouvoir adapter le contenu au lecteur final. Cette mission n’est pas du tout facile, car la moindre erreur dans le choix des termes peut nuire à l’étude ou la recherche concernée. De même, la traduction a aussi pour tâche de transmettre le texte scientifique à travers des mots clairs et simples. Cela demande l’emploi d’expressions médicales et techniques bien connues par le public ciblé, mais sans les vider de sens.
Ce n’est pas tout, car il faut également appliquer le style adéquat dans les revues scientifiques. Nous parlons justement du recours aux phrases courtes et précises et à la voix active en particulier. D’ailleurs, certains magazines internationaux imposent des critères rédactionnels bien définis. Cela inclut le nombre de mots par article, la largeur des tableaux, le caractère utilisé dans les notes en bas de page, etc.
Recourir aux professionnels pour pallier les difficultés
Comme vous pouvez le remarquer, la traduction des publications scientifiques est le métier exclusif des professionnels. Seul un expert linguiste spécialisé est capable de réussir cette mission. Que cela soit dans le cadre de travaux de recherches ou de la promotion d’une nouvelle approche d’intervention, la vigilance est de mise. Comme déjà mentionné, une simple ambiguïté ou confusion peut affecter la compréhension du texte et avoir des conséquences négatives. N’oublions pas non plus qu’un article scientifique peut avoir une dimension commerciale. Par exemple, la présentation d’un produit efficace dans le traitement de l’obésité ou de la chute de cheveux. Dans ce sens, nous vous conseillons de confier votre document au bon traducteur doté de toutes les compétences requises pour réussir votre projet.
La valeur ajoutée par Translatonline
Nos traducteurs scientifiques et médicaux interviennent vers leur langue maternelle tout en maîtrisant parfaitement la langue source. Cela facilite autant le choix du vocabulaire spécialisé et à la fois utilisé par le lecteur ciblé. De plus, notre agence professionnelle garantit rigueur et qualité quant au résultat définitif. Nous passons chaque texte traduit par une phase de révision et d’adaptation avant d’être validé par notre chef de projet. Ce dernier est très soucieux de vous livrer une version finale sans erreurs linguistiques ou typographiques. Il reste en contact avec vous afin de vous faire part de l’évolution du travail et vous interroger sur les termes techniques en cas de besoin. Ainsi, nous vous aidons à optimiser la qualité de votre article et nous vous envoyons une copie prête à la publication dans les revues internationales.