Réussir votre projet de traduction en langue étrangère dépend de plusieurs facteurs. Or, le bon choix du traducteur est la première garantie d’obtenir des résultats satisfaisants. Pour cela, vous devez confier votre traduction à un traducteur natif de la langue d’arrivée de votre traduction. En pratique, la localisation spécialisée ne consiste pas à convertir le texte mot à mot. C’est un travail de compréhension et de choix exact des équivalences dans la langue cible. Or, ceci ne peut être que le travail exclusif d’un traducteur natif qui intervient uniquement dans sa langue maternelle.
Une maîtrise parfaite de la langue
Choisir un traducteur natif pour traiter votre document personnel ou professionnel, c’est avoir l’assurance d’obtenir une traduction fidèle à l’original. Votre locuteur aura toutes les compétences linguistiques requises pour traduire correctement votre texte. Mais surtout, pour réussir l’exercice des équivalences entre les langues. Parfois, des mots et des expressions qui figurent dans une langue n’ont pas systématiquement d’équivalents dans une autre. Seul le traducteur natif est capable de comprendre la signification de ces mots en profondeur et de pouvoir les traduire correctement.
Ceci est très fréquent dans vos documents contractuels et juridiques. La mission du traducteur n’est pas de transmettre le contenu d’une langue à une autre. Mais aussi, entre deux systèmes de droit différents. C’est ainsi que vous recevez des traductions prêtes à l’utilisation dans le pays étranger que vous ciblez.
Localiser plutôt que traduire
Vous pouvez faire traduire votre texte à l’aide d’un traducteur automatique en ligne. Pour le résultat, vous allez obtenir des phrases traduites littéralement, sans liaison et sans pouvoir passer le message initialement voulu. Pour éviter ce type de traduction désastreux, il faut privilégier la traduction humaine. Mais ce n’est pas toujours suffisant ! Votre traducteur doit localiser votre texte selon les subtilités de la langue étrangère. Il doit aussi tenir en compte la culture et le vocabulaire courant dans le pays que vous ciblez. Autrement, votre interlocuteur ne peut ni comprendre ni utiliser votre traduction qui va lui paraître étrange.
Attention, avoir la langue finale comme seconde langue ne donne pas les mêmes compétences linguistiques d’un locuteur natif. Celui-ci aura en plus les nuances culturelles, le jargon local et ses différents dialectes.
Le meilleur choix du vocabulaire
Pour réussir une traduction, un bon traducteur n’utilise pas uniquement le vocabulaire qui existe dans le dictionnaire. C’est pour cette raison que les traductions automatiques ne sont pas toujours authentiques et prêtes à l’utilisation. La solution idéale est d’avoir un vocabulaire plus étendu. Cela signifie qu’un locuteur natif possède un vocabulaire plus riche en synonymes, tournures de phrases et expressions uniquement utilisables dans le pays visé. Il peut ainsi reproduire un contenu plus fluide et facile à lire que celui d’un traducteur non natif. Il peut même vous assurer une meilleure créativité linguistique lorsqu’il rencontre un mot qui n’a pas d’équivalent dans la langue de la traduction. Dans ce cas, il va identifier la bonne terminologie selon les habitudes et la culture du lecteur étranger. De plus, il peut créer des glossaires et bibliothèques terminologiques pour vos traductions futures.
Pour éviter les erreurs de traduction
Un traducteur professionnel ne traduit pas forcément vers toutes les langues de la planète. C’est plutôt celui qui maîtrise les subtilités de sa langue maternelle afin de vous assurer la qualité optimale de ses travaux. Comme dans tous les métiers du monde, pour chacun sa spécialisation. Pour cela, une agence de traduction de rigueur vous demande la combinaison linguistique dans laquelle vous allez effectuer votre traduction. C’est pour vous trouver le meilleur traducteur selon vos besoins spécifiques. En d’autres mots, pour faire appel à un traducteur dont la langue maternelle est la langue d’arrivée de votre traduction.
Autrement, un traducteur non natif peut facilement commettre des erreurs et diminuer la qualité de traduction de votre document. Nous parlons notamment de l’utilisation d’un vocabulaire non approprié, l’oubli de certains passages et le recours aux mauvais équivalents. Ainsi, le caractère natif du traducteur et sa spécialisation sont les deux règles d’or de la réussite de votre traduction.